Quelques mots sur le secteur de la récupération

Chaque année, le secteur du recyclage a toujours une immense quantité de matières à récupérer : les résultats obtenus semblent être satisfaisants. Toutefois, la production tend à baisser, mais cela n’empêche pas la filière de subsister. En quelques décennies, certaines entreprises ont été rachetées par d’autres groupes.

Quelques généralités

Depuis quelques dizaines d’années, la moitié des entreprises spécialisées semble avoir disparu de la circulation. Certes, elles n’ont pas disparu, mais elles ont intégré des conglomérats. La filière a muté de l’aspect artisanal vers l’industrialisation moderne. Cette évolution est justifiée par l’investissement dans l’innovation des matériels et de l’achat de nouvelles machines. Ces efforts ont pour but l’augmentation de la production et l’amélioration qualitative. Les activités se sont également diversifiées.

Des activités diversifiées

Les industries de la récupération et du recyclage convergent vers la pluralité de leurs activités. Les prestations se sont élargies et chacun cherche à prospérer dans d’autres domaines et conçoit constamment de nouveaux produits. Les matériaux utilisés ainsi que les procédés de fabrication ne cessent d’évoluer. Les nouvelles technologies sont adoptées avec des techniques innovantes. Les leaders dans le domaine utilisent efficacement la R&D pour dénicher d’autres équipements et matières premières. Actuellement, le secteur compte environ 40.000 emplois.

Une exploitation responsable

L’investissement dans le secteur avoisine le milliard d’euros. Des normes comme la REP ou Responsabilité élargie du producteur règlementent les nouvelles filières tout en restant dans le domaine légal. Ainsi, le bois a été récemment intégré dans les activités. Le mobilier fait partie de ces normes et des cellules spécialisées appliquent l’éco-participation. La distribution s’occupe de la récupération et prévoit le recyclage des produits. La matière est valorisée au lieu d’être incinérée.